Le réveil m'a tiré du sommeil, quel dommage. J'ai fait un tel rêve... Je ne me souviens pas de tous les détails, mais à en juger par ma bite qui se raidit, c'était très excitant. Rien à faire, il est temps de se lever. J'ai regardé le lit d'à côté, ma petite sœur y dormait, et comme toujours, avec des écouteurs dans les oreilles. Et bien sûr, elle n'entendait pas ce fichu réveil.
Je me suis approchée de la fenêtre pour regarder ceux qui avaient la malchance de se lever encore plus tôt que moi. Des gens moroses, des matins moroses. Je peux les comprendre. J'envie les gens qui ont la possibilité de prendre leur temps dans la vie sans avoir à vivre une vie misérable. Tout le monde n'a pas cette chance.
Je me suis retourné, avec l'intention de réveiller Marinka, et je n'ai pas pu retenir un sourire. Méchante fille, très méchante. Si son père l'avait vue, il lui aurait donné une bonne correction sur son joli cul. Elle a l'habitude de dormir sans sous-vêtements, en nuisette, je ne sais pas si c'est courant chez les filles, mais je ne suis pas sûre que ce soit considéré comme normal, dans la même chambre que son frère. Comme nous n'étions qu'au début du mois de septembre et qu'il faisait encore assez chaud, elle n'a même pas mis de chemise de nuit, mais s'est allongée avec un débardeur. Je ne sais pas à quoi elle rêvait, mais la couverture était empilée à ses pieds.J'adore regarder sa silhouette, ses seins petits mais beaux, sa taille fine, ses fesses appétissantes et ses jambes magnifiques. C'est grâce aux gènes de sa maman, et à son amour de la danse, qu'elle a acquis ces formes magmatiques. Ses chaussures à talons roses étaient bien calées contre ses fesses, on voyait bien que tout commençait à refroidir. Je ne pouvais pas me priver du plaisir de regarder cette beauté de plus près. Je me suis assis sur le bord du lit et j'ai commencé à regarder cette beauté de bas en haut. Ses cheveux blonds foncés, légèrement ondulés, étaient éparpillés sur l'oreiller. Des yeux fermés, avec de longs cils. Son nez retroussé et ses lèvres pleines, toujours rouges parce qu'elle aime les mordre, lui donnaient un air innocemment mignon. Un cou fin, avec une veine frémissante que l'on a envie d'embrasser. Sa chemise laissait apparaître un téton, petit nain rose fixant malicieusement le plafond, entouré du même halo rose. Un bras allongé sur le côté, balançant une brosse sur son ventre, l'autre replié sous sa tête. Des doigts soignés, avec de petits ongles. J'aime sa réticence à se laisser pousser les ongles longs. En baissant les yeux, je regarde de plus près ce qui a occupé des hommes pendant des millénaires d'histoire. Des hémisphères doux, une peau veloutée qui me donne une envie brûlante de toucher ces fesses. Les serrer dans la paume des mains, les embrasser, les mordre..... Beaucoup de pensées me traversent l'esprit dans ces moments-là. Même si elle avait épilé ses jambes avec un soin et une méticulosité respectables. Mais le rasoir ne l'avait pas encore touchée entre les jambes, ce qui la rendait encore plus virginale. Des poils doux sur le pubis et un peu entre les fesses. Aucune actrice pornographique occidentale rasée de près ne pouvait se comparer à cette vue. L'image qui s'ouvrait devant moi suscitait des émotions fortes, des sentiments anciens, au niveau des instincts.
Quel pouvoir, quelle influence le corps d'une femme a sur l'esprit d'un homme. Ce n'est que maintenant, en regardant ma montre, que je me suis rendu compte que cela faisait dix minutes que je regardais ma petite sœur. Je me suis penché vers elle et, respirant le parfum de son corps qui sentait les fleurs, je l'ai embrassée sur la joue - "C'est l'heure de se lever, petite fille.